Révolution spirituelle du moins
Pour développer un peu le sujet de cette vidéo :
Avoir des objectifs ambitieux et ne pas les atteindre, ça peut vraiment arriver.
Avoir des objectifs de moins et ne pas les atteindre, franchement faut pas en avoir envie !
Pourquoi moins ?
C’est plus simple déjà.
Ça libère tu temps de conscience, d’être ici là et maintenant.
Si on en a pas envie, ça peut révéler une anxiété, du FOMO et/ou de la comparaison, et là le but c’est pas franchement non plus la surenchère ou la course en avant.
Ensuite, c’est nécessaire.
Je pense aux “pays développés” principalement, et ceux qui cherchent à copier leur mode de vie.
Comment moins ?
Sans dec cette question ?
Je rigole, je comprends complètement la difficulté de s’arrêter quand on a l’impression que le temps est une ressource à maximiser, optimiser.
Difficile aussi d’être seul avec soi, se voir penser.
Si on ne peut faire moins par l’émotion, l’envie, on peut le faire de façon un peu rationnelle :
En choisissant toujours l’activité la moins énergivore (considéré holistiquement, notamment avec les émissions de GES).
Mais en fait, pourquoi courir ?
Pas confiance dans le futur ?
Tirer la couverture suscite la défiance.
Ensuite on passe beaucoup de temps à défendre ce qu’on a accumulé.
Et quand ça devient exponentiel (pensez-y mais rien que faire rouler une voiture, c’est énormément d’énergie), ça pose soucis.
On pourrait utiliser encore plus notre intelligence formidable et notre capacité à transformer les environnements pour se créer des forêts comestibles, des quartiers à la fois champêtres et urbains, d’une grande biodiversité et grande productivité.
Des lieux où je pense on serait moins anxieux.