Nourriture gratuite et sans effort : cultiver les herbes spontanées
Ils appellent ça des mauvaises herbes, moi je les mange.
… Enfin pas toutes lol ;)
En maintenant un bon couvert vivant dans certaines zones, en quelques années le jardin devient l’hôte de plein de graines : plein de génétiques prêtes à s’activer selon les conditions aux endroits où elles tombent.
Parmi celles-ci, une certaine proportion va être directement comestible (ortie, egopode, autres jeunes plantes …), une autre va être comestible cuisinée, une autre va être utilisable en tisane, encore une autre pourra être transformée en produits utiles du quotidien.
Et dans tous les cas, elles sont toutes compostables.
Dans ce dernier cas, elles peuvent être vues comme des usines à matière organique (et stock d’humidité).
Pour toutes ses raisons, au lieu de tout couper, on voudra favoriser les espèces spontanées ET qui nous intéressent.
Ma liste du jardin
- Les orties et l’egopode ressortent tout le temps. Ca tombe bien, c’est bon jeune en salade ou cuisinée sinon. Au printemps, la lampsane mais surtout le mouron :)
- L’achillée, le lierre terrestre, le lamier pourpre, l’alchémille, le millepertuis … sont ponctuellement dégagés pour augmenter leur production de fleurs, séchées en tisane.
- La berce pour usage condimentaire (graines).
Il y a aussi des plantes que je laisse pousser pour masquer les voisins, ou comme dis plus haut : pour les laisser pousser et disposer de plus de matière organique plus tard.