Comment devrait-être un jardin ?

En 3D pour commencer.

Le volume occupé par de la végétation (et les animaux qui vont avec) est un stockage d’eau, de carbone et rend de nombreux biens et services, par exemple des fruits ou de l’ombre.

Les 3 composants du jardin

Ce qui distingue un espace naturel d’un jardin ce sont :

• les chemins,
• les zones de culture,
• les barrières.

Un jardin c’est un parcours

Pour dégrader un minimum d’espace, on définit des chemins.

Ces chemins devraient s’inspirer au maximum des coulées visibles sur le sol (passage d’animaux, dont les humains, ex : angles de parcs).

Créer des chemins crée de facto des zones, préservées du piétinement.

Des tailles de zone adaptées

Les chemins enclosent des zones, dont la profondeur (par rapport au chemin) varie selon les usages :

Pour de l’entretien manuel régulier (ex: potager), on préfère une profondeur réduite (30 … 50 centimètres ?).

Les arbustes habitent derrière cette ligne, et les arbres encore derrière les arbustes.

Après, on cherche à optimiser la dimension et la forme des zones.

Rediriger les flux

Pour optimiser les conditions de culture, un jardin est fait d’obstacles, qui épousent la forme des chemins.

Grâce à aux barrières on conserve certaines ressources, et on en évacue d’autres.

Bref, voici une première tentative pour décrire comment devrait être un jardin.